LA PARABOLE DU WOKE
Je ne veux pas dire du mal du courant Woke ( Éveillé) mais quand même.
Il convient de ne pas confondre le Woke et un wok.
Un Woke peut utiliser un wok pour cuisiner mais rapidement les ennuis commençent.
Il lui faut tout d ‘abord cuire séparément en fonction du genre la pomme de terre, le poireau, et l escargot transgenre. De plus il lui faudra distinguer durant toute la cuisson et cela est capital les légumes vert, jaune, blanc.
Comme si cela ne suffisait pas il ne pourra utiliser aucune épice, ni poivre, ni cumin, au risque de devoir faire un acte de repentance publique pour avoir insulté des ex colonies.
Au bout du compte cette négation des règles culinaires et du savoir vivre le conduit à beaucoup d aigreurs et une vie sans saveur.
Mais le drame du woke continue car il va lui falloir éviter un bichenicide, tuer une biche c est tuer toutes les biches, la Biche.
Le woke présentant souvent, quelque soit son âge, un profil adulescent post pubertaire il s ‘expose à sa pulsion frénétique de classer, écarter, juger, rééduquer ce qui en matière de goût est détestable.
Je termine par la phrase emblématique du woke: comment peut on encore pensé de cette manière en 2021?
Énoncé performatif magnifique et monstrueux, d’un aveuglement paradoxal pour un éveillé, en la croyance d’ un progrès continue au fil du temps en matière de mœurs au même titre que le progrès scientifique.
Enfin ma chronique ne menace personne et comme le disait Maurice Biraud dans un Taxi pour Tobrouk: deux intellectuels assis vont moins loin qu’ une brute qui marche.

Très bon, beaucoup d’humour 🙂
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Très bon, bel humour !
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Vraiment très bon.
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