E comme EMANCIPATION

EMANCIPATION Comment des individus enchaînés depuis toujours au fond d’une caverne pourrait il ne serait ce que désirer sortir de leur état ? se demande Platon dans la République. « Comment des gens qui ont subi une domination éfficace et réussie peuvent ils créer pour eux mêmes les conditions de la liberté demande Marcus vingt cinqLire la suite « E comme EMANCIPATION »

P comme PRAXIS

Praxis J adore ce mot et cette poésie de l’action. La praxis c est le faire visant l autonomie de tous, c’est l ambition des hommes à dominer ensemble l’avenir, à être maître de leurs existences, lesquelles dépendent pourtant en grande partie des institutions qui nous gouvernent. La praxis c est un Faire dans lequelLire la suite « P comme PRAXIS »

Le chœur des vierges

Au grand dam du chœur des vierges de la Communauté européenne la Pologne affirme la supériorité du droit national sur le droit communautaire, recouvre sa souveraineté. Décidé qui décide ce n est plus décidé mais décidé qui va décidé d abandonner son droit de décider au profit d un autre c est abdiquer toute autonomieLire la suite « Le chœur des vierges »

Le mur invisible

Au bord de la route, des fleurs se multipliaient dans l’herbe pauvre, et Chalfour s’étonnait de l’éclat des marguerites. Il apercevait des insectes qui voyageaient au milieu des herbes et au-dessus des herbes : moucherons, sauterelles, faucheux. Lui-même ressemblait à un faucheux embarrassé par le fardeau de son corps, comme le ciel aussi par l’illustreLire la suite « Le mur invisible »

La doctrine pénale de l’ennemi

Sommes nous tous coupable? Pour définir l’essence de l’institution des significations imaginaires sociales d’une nouvelle économie pénale  il faut distinguer ce qui relève de la construction mythique d’une figure monstrueuse et dangereuse (la délinquance des mineurs, le black bloc, le gilet jaune, l’ antivax…) qui mettrait en péril le contrat social, la civilité et laLire la suite « La doctrine pénale de l’ennemi »

CHEMINS ET SENTIERS

Au bord de la route, des fleurs se multipliaient dans l’herbe pauvre, et Chalfour s’étonnait de l’éclat des marguerites. Il apercevait des insectes qui voyageaient au milieu des herbes et au-dessus des herbes : moucherons, sauterelles, faucheux. Lui-même ressemblait à un faucheux embarrassé par le fardeau de son corps, comme le ciel aussi par l’illustreLire la suite « CHEMINS ET SENTIERS« 

CHEMINS ET SENTIERS

Au bord de la route, des fleurs se multipliaient dans l’herbe pauvre, et Chalfour s’étonnait de l’éclat des marguerites. Il apercevait des insectes qui voyageaient au milieu des herbes et au-dessus des herbes : moucherons, sauterelles, faucheux. Lui-même ressemblait à un faucheux embarrassé par le fardeau de son corps, comme le ciel aussi par l’illustreLire la suite « CHEMINS ET SENTIERS«